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2024

L’effondrement des écosystèmes serait dangereux pour l’économie. Il peut se répercuter au niveau global. La forêt amazonienne, les tourbières tropicales et les mangroves contiennent actuellement environ 220 gigatonnes de carbone. Si elles sont perturbées, elles peuvent subir des changements incontrôlables qui feraient basculer l’écosystème vers une savane non boisée. Leur effondrement provoquerait des émissions de carbone équivalentes à environ 20 ans d’émissions mondiales de CO2 actuelles. Cela pourrait empêcher le maintien d’un climatique de moins d’ 1,5°C, et aurait de nombreuses conséquences directes.
Le coût de l'inaction climatique sera d'ici 2050 six fois plus important que le coût de l'action climatique dans un scénario 2°C.
Le gouvernement s’est réjoui d’une baisse de nos émissions de CO2. Las, celle qui touche le secteur des transports, très polluant, est toujours loin d’être suffisante.
Les émissions de gaz à effet de serre ont connu l'an dernier leur plus forte baisse depuis 1990. L'Allemagne est en bonne voie pour atteindre ses objectifs climatiques en 2030.
En cause, notamment : la faible production hydroélectrique causée par les sécheresses et la croissance chinoise. L'Agence internationale de l'énergie souligne toutefois un apport important des énergies « propres ».
Les émissions mondiales de CO2 liées à l’énergie ont progressé de 1,1% l’an passé pour atteindre un niveau record de 37,4 milliards de tonnes, annonce ce vendredi 1er mars l’Agence internationale de l’énergie.
Les émissions mondiales de CO2 liées à l'énergie ont progressé de 1,1% en 2023 pour atteindre un niveau record, en raison notamment de la faible production hydroélectrique causée par les sécheresses et de la croissance chinoise, a indiqué vendredi l'Agence internationale de l'énergie (AIE).Ces émissions énergétiques, qui représentent de l'ordre de 90% du gaz carbonique émis par les humains, ont ainsi augmenté de 410 millions de tonnes pour atteindre 37,4 milliards de tonnes l'an dernier, selon ce bilan de référence de l'AIE, basée à Paris.
Le Service Copernicus pour la surveillance de l’atmosphère (CAMS) a suivi les émissions provenant des incendies de forêt en Amérique du Sud. L’intensité des feux de forêt dans le nord de la forêt amazonienne, en particulier dans l’État brésilien de Roraima, a entraîné les plus fortes émissions de carbone enregistrées pour un mois de février depuis au moins 2003, non seulement pour Roraima, mais aussi pour l’ensemble du Brésil. D’autres pays d’Amérique du Sud, comme le Venezuela et la Bolivie, enregistrent également les émissions les plus élevées depuis 2003 pour la même période.
Les émissions de gaz à effet de serre du secteur énergétique européen ont chuté de 19% l'an dernier, sur fond de dégringolade du recours au charbon et au gaz, constate le groupe de réflexion Ember pour qui "le secteur énergétique de l'Union européenne est au milieu d'un changement monumental".
La Commission européenne dévoile ce mardi 6 février son nouveau cap climatique pour 2040, préconisant de suivre le même rythme que pour 2020-2030. Un objectif qui ne pourra faire l’objet d’aucune décision législative avant les européennes.
Baptiste Andrieu a exploré, durant sa thèse entre le Shift Project et le laboratoire ISTerre, les liens entre énergie, ressources et économie. Il est maintenant en post-doctorat à l’Université de Cambridge où il travaille sur la façon dont les pays du Sud pourraient tirer plus de valeur ajoutée de leur extraction de matières premières. Durant cette vidéo, on tente de répondre à une question qui est au cœur de débats souvent animés : le découplage est-il possible ? Comprendre : peut-on avoir toujours plus de PIB avec toujours moins d’énergie et d’émissions de gaz à effet de serre ?
L’écrivain et historien belge David Van Reybrouck a pris la parole lundi devant les ministres européens de l’Environnement, à l’ouverture d’une réunion informelle à Bruxelles. "On ne peut pas décarboner sans démocratiser", a-t-il résumé auprès de l’agence Belga.
De populairste sport ter wereld, voetbal, wordt steeds groter. Kan de sector blijven groeien en tegelijkertijd zijn CO2-uitstoot naar beneden halen om te voldoen aan de internationale klimaatdoelstellingen?
BP, Shell, Chevron, ExxonMobil et TotalEnergies vont distribuer plus de 100 milliards de dollars de récompenses à leurs actionnaires pour l’année 2023, dépassant le record de 2022.

2023

L’alternative aux énergies fossiles se développe aujourd’hui en Europe et en Wallonie avec une économie dite biosourcée. De manière circulaire, avec un impact carbone bien plus faible que des équivalents pétro-sourcés, on peut construire des bâtiments, produire des vêtements, produire du bioplastique et de l’énergie, extraire des molécules pour la pharmacologie, des détergents, etc. Mais malgré un immense potentiel, l’économie biosourcée n’est-elle pas encore trop peu connue ? Au cœur de ses secteurs vertueux pour l’environnement, Bertrand Auquière, directeur de Valbiom, Gilles Crahay, fondateur de PolyPea et Charlotte de Bellefroid d’Isohemp étaient les invités de Tendances Première.
L’humanité n’a jamais utilisé autant de charbon, estime l’Agence internationale de l’énergie (AIE) ce vendredi 15 décembre. Mais le recours à cette énergie fossile devrait décroître à partir de 2024.
La quantité d'électricité à produire pour atteindre les objectifs fixés par l’UE en matière d’électro-carburants est incompatible avec une hausse conséquente du trafic.
A l’occasion de la fin de la COP28, la spécialiste belge des questions de durabilité et d’énergie revient sur la stratégie de la neutralité carbone à horizon 2050. Elle regrette l’incohérence des politiques actuelles, par ailleurs très coûteuses.
Une étude internationale, qui a permis la reconstitution de 66 millions d'années d'histoire climatique, indique que les températures mondiales pourraient être encore plus sensibles aux niveaux de dioxyde de carbone que ne l'estiment les modèles actuels.
Charbon, pétrole, gaz… L’utilisation des combustibles fossiles se poursuit et va entraîner un nouveau record d’émissions mondiales de CO₂ en 2023, selon les dernières données publiées lors de la Cop28. Cependant, des pays ont baissé leurs émissions, quand d’autres ralentissent le rythme de l’augmentation. Mais ce n’est pas encore suffisant pour empêcher la poursuite du réchauffement climatique.
Les émissions mondiales de CO2 ont encore augmenté cette année pour atteindre un nouveau record, selon une étude du...
De wereldwijde CO2-uitstoot uit fossiele brandstoffen is dit jaar opnieuw gestegen tot een ongezien niveau, zo blijkt uit een explosief rapport dat vandaag wordt voorgesteld op de klimaattop in Dubai. Dat kan betekenen dat het koolstofbudget om onder de 1,5 graad Celsius te blijven al binnen zeven jaar opgesoupeerd is.
L’étude annuelle 2023 référence du Global Carbon Project (GCP) vient d’être publiée et elle n’apporte pas que des bonnes nouvelles.
Les quantités de CO₂ que nous pouvons encore émettre tout en respectant l’objectif de l’accord de Paris se réduisent à une peau de chagrin : au rythme de 2023, nous aurons épuisé ce budget carbone dans sept ans.
Alors que la première semaine de la COP28 s’achève à Dubaï, la nouvelle édition du Global Carbon Project, publiée ce mardi 5 décembre, rappelle que les émissions de CO2 ne cessent d’augmenter, jusqu’à atteindre un niveau record en 2023. En cause, la Chine et l’Inde, dont la consommation de charbon et de pétrole est en hausse, alors qu’en Europe et aux États-Unis, la tendance tendrait à s’inverser. Un signal fort à l’heure où les États doivent statuer sur la fin, ou non, des énergies fossiles.
The effect of increasing the concentration of atmospheric carbon dioxide (CO2) on global average surface air temperature might be expected to be constant, but this is not the case. A study published in the journal Science shows that carbon dioxide becomes a more potent greenhouse gas as more is released into the atmosphere.
The critical annual update revealing the latest trends in global carbon emissions
Bij de start van de Klimaattop in Dubai komt de Wereld Meteorologische Organisatie (WMO) met nieuwe cijfers, en die zijn niet geruststellend voor de onderhandelaars. 2023 wordt het warmste jaar ooit gemeten, en de zeespiegelstijging en CO2-concentratie zijn nog nooit zo hoog geweest.
À l’occasion la COP28, The Conversation France publie un extrait du livre de Christian de Perthuis, « Carbone fossile, carbone vivant » (Gallimard) consacré aux stratégies de sortie de la rente fossile.
Les compagnies pétrolières américaines peuvent dire un grand merci à l’Arabie Saoudite et à la Russie. Les deux pays leaders du cartel baptisé Opep+ ont réussi pendant une bonne partie de l’année, au printemps et en été, à faire monter régulièrement les cours du baril de pétrole en réduisant l’offre. Une stratégie qui a fait le bonheur des producteurs américains de pétrole, notamment de pétrole de schiste, qui vont battre cette année leur record de production. Au total, les Etats-Unis devraient avoir produit en moyenne cette année environ 13 millions de barils par jour, un million de plus que l’an dernier, ce qui correspond exactement à la baisse de production de l’Arabie Saoudite depuis le printemps.
Les concentrations de gaz à effet de serre, responsable du changement climatique, ont à nouveau battu des records en 2022, une tendance qui n’est pas près de s’inverser, a alerté l’Onu mercredi, appelant à réduire d’urgence la consommation de combustibles fossiles.
D’après un rapport, l’atmosphère n’a jamais été aussi chargée en gaz à effet de serre. De quoi craindre une augmentation de la température supérieure aux objectifs climatiques.
Ces « Bonnes feuilles » sont extraites d’une partie de l’introduction de Renaud Bécot et Gwenola Le Naour (dir.), Vivre et lutter dans un monde toxique – Violence environnementale et santé à l’âge du pétrole, Seuil, 2023.
C’est un nouveau record absolu : les émissions mondiales de CO2 devraient encore augmenter en 2023, avec 0,5 à 1,5 % de rejets dans l’atmosphère supplémentaires par rapport à 2022. C’est ce qui ressort d’une étude préliminaire, dont les résultats ont été rendus publics le 17 octobre par le Centre norvégien Cicero pour la recherche internationale sur le climat, affilié à l’université d’Oslo.
Les émissions mondiales de dioxyde de carbone, essentiellement dues à la combustion des énergies fossiles et à l'origine du réchauffement de la planète, devraient augmenter d'environ 1% pour atteindre un nouveau record en 2023, ont annoncé mardi des scientifiques dans une étude préliminaire.
Une tribune réunissant 37 scientifiques appelle le gouvernement à financer la recherche de solutions technologiques à la crise climatique. Le mathématicien Yves Laszlo nous en expose les enjeux.
Emmanuel Macron présente, lundi, sa planification écologique qui doit permettre à la France de réduire ses émissions nettes de gaz à effet de serre de 55 % d’ici 2030 par rapport à 1990. Les objectifs pour chaque secteur sont déjà connus, mais pas les moyens d’y parvenir. Voici une liste de mesures qui, si elles étaient appliquées, montreraient la réelle volonté du chef de l’État.
Un record qui devrait encore augmenter puisque des incendies sont toujours en cours dans plusieurs régions.
Scientists have raised concerns about whether high-income countries, with their high per-capita CO2 emissions, can decarbonise fast enough to meet their obligations under the Paris Agreement if they continue to pursue aggregate economic growth. Over the past decade, some countries have reduced their CO2 emissions while increasing their gross domestic product (absolute decoupling). Politicians and media have hailed this as green growth. In this empirical study, we aimed to assess whether these achievements are consistent with the Paris Agreement, and whether Paris-compliant decoupling is within reach.
Background Scientists have raised concerns about whether high-income countries, with their high per-capita CO2 emissions, can decarbonise fast enough to meet their obligations under the Paris Agreement if they continue to pursue aggregate economic growth. Over the past decade, some countries have reduced their CO2 emissions while increasing their gross domestic product (absolute decoupling). Politicians and media have hailed this as green growth. In this empirical study, we aimed to assess whether these achievements are consistent with the Paris Agreement, and whether Paris-compliant decoupling is within reach.
Les crédits carbone forestiers sont désormais considérés par diverses études scientifiques comme sans effet positif pour le climat. Retour sur l'avènement de cet outil de compensation carbone et ses limites vite atteintes.
Pour baisser les émissions de la France, le coût de la tonne de CO₂ évitée ne doit pas être le seul critère, au risque d’être contre-productif.
Les émissions de carbone provoquées par les feux de forêts historiques au Canada ont déjà dépassé le record annuel national, selon l'observatoire européen Copernicus jeudi. Et le pic n'a peut être pas encore été franchi, le pays étant toujours en proie à plus de 990 incendies, dont 613 jugés hors de contrôle.
L’observatoire européen Copernicus publie, jeudi, les données d’émissions de carbone qui révèlent que, avant même la fin de la saison des feux au Canada, ces émissions atteignent déjà un record historique.
More than a century of research shows that burning fossil fuels warms the climate – that’s exactly why granting new North Sea oil and gas licenses is a bad idea.
Les débats sur l’avenir du trafic aérien occultent que le recours à l’avion demeure réservé à une minorité.
Le charbon a encore de beaux jours devant lui. Selon un nouveau rapport de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), sa consommation a augmenté de 3,3 % en 2022, pour atteindre 8,3 milliards de tonnes. Un record.
Global coal consumption climbed to a new all-time high in 2022 and will stay near that record level this year as strong growth in Asia for both power generation and industrial applications outpaces declines in the United States and Europe, according to the IEA’s latest market update.
Energy firms have made record profits by increasing production of oil and gas, far from their promises of rolling back emissions
Tous les secteurs sont câblés sur la même priorité : accélérer la décarbonation de l'économie. Ce qui suppose une production d'électricité, et plus globalement d'énergie verte, très importante. La France en a-t-elle les moyens ?



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